"Ce mouvement contre la « loi travail » n’en finit pas de commencer et personne ne voit bien comment il pourrait se finir. Mais quelle qu’en soit l’issue, ce vendredi 25 mars aura constitué un tournant : les lycéens – les lycéens de Bergson – sont notre avenir, courageux, dignes, lucides."
Deux appels de la ZAD pour occuper la rue le 31 mars et après encore.
« C’est à l’unanimité que les briscards de la CGT décidèrent de se positionner à leur tour en ligne, se faisant ainsi les gardes du corps des gardiens de l’ordre »
Appels à continuer, le 31 et plus encore.
« C’est une femme, elle a un maintien noble et fier, elle s’exprime avec tranchant, et en plus elle est arabe. C’est trop. »
Compte-rendu du livre de Houria Bouteldja :Les Blancs, les Juifs et nous. Vers une politique de l’amour révolutionnaire
Lettre de menaces « à l’ancienne génération »
« Révolutionnaire, c’était déjà mal. Mais en plus, bon vivant, joyeux, sans respect des bonnes mœurs, là ç’en était vraiment trop. »
Retour en extraits sur la journée de mobilisation contre la Loi Travail du 24 mars.
« Il y avait quand même quelques commentaires de paresseux ’’c’est une manif de la première guerre mondiale ou quoi ?! Ils connaissent pas les transports !’’ »
Invasion cybernétique au Québec
Témoignage de l’ile de Lesvos en Grèce
Après Syriza, le plan C ?
Marins, renégats & autres parias. L’histoire d’Herman Melville et le monde dans lequel nous vivons.
Oreste Scalzone contre la montre
En se promenant sur l’internet...
[Reportage vidéo]
Un lundisoir avec Emmanuel Lévine
Une chanson populaire à propos de Frédéric Lordon
Conférences et débats : Alèssi Dell’Umbria, Emmanuel Dockès, Olivier Cyran, Julien Brygo... [3/3]
Discussion avec Nathalie Quintane et Leslie Kaplan
Se défendre, une philosophie de la violence - Rencontre avec Elsa Dorlin
Par Astrid, présentatrice météo de quatrième génération
« Mais accuser Radio Alice d’être responsable de la colère des jeunes, c’est comme accuser le festival de la chanson de San Remo d’être la cause de la stupidité nationale : c’est accorder un pouvoir quasi magique aux mass media. »
« Considérant qu’ici-même l’on habite, cuisine, danse, fait l’amour, fait de la politique, parle une vingtaine de langues, chante l’espoir et la peine, pleure et rit, contredit ô combien les récits dont indignés comme exaspérés s’enivrent, assoiffés des images du désastre, bourrés de plaintes, écoeurés par ce qui s’invente, s’affirme et déborde. »
Encart publicitaire
"Pourquoi l’État des ouvriers finit-il par devenir l’État des ingénieurs, l’État des productions militaires ou de l’industrie productive, ou des « grandes causes productives nationales », l’électricité, le nucléaire, l’aéronautique, les automobiles et les camions, etc. ?"
Sur l’internet...
« Mais va pour la migraine, tant pis ; ras-le-bol de vouloir faire quelque chose à partir de notre malheur. Il s’arrange de bien trop de sales petites choses. Il n’y a rien à faire de notre tristesse, elle ne nous fera rien faire. Nous voudrions partager et suivre les affects qu’elle a étouffés. Nous nous sommes exercés à lutter contre le ressentiment, à reconnaître le Bon, le Bien, le Juste, le Beau quand ils arrivent. Servons-nous en. Au bout des fêlures, la plage. »