Oreste Scalzone contre la montre
Sur l’internet...
« Mais va pour la migraine, tant pis ; ras-le-bol de vouloir faire quelque chose à partir de notre malheur. Il s’arrange de bien trop de sales petites choses. Il n’y a rien à faire de notre tristesse, elle ne nous fera rien faire. Nous voudrions partager et suivre les affects qu’elle a étouffés. Nous nous sommes exercés à lutter contre le ressentiment, à reconnaître le Bon, le Bien, le Juste, le Beau quand ils arrivent. Servons-nous en. Au bout des fêlures, la plage. »
« Le destin des habitants dits historiques, et avec eux celui de la zad et de ce qu’elle représente, est suspendu à ce jugement. La nature de cette décision enclenchera une bataille au moins aussi intense que l’opération césar en 2012... »
Un juge : « Espérons que les temps vont s’apaiser et qu’on reviendra à l’Etat de droit. »
"Et donc à mon avis le problème de l’organisation politique est un des problèmes majeurs de notre tradition politique et il faut le repenser. Voilà, c’est tout."
« Ce que je vois, c’est d’abord une manœuvre obscène pour s’approprier un choc, pour s’approprier un état d’extrême vulnérabilité générale et la tentative, réussie à ce jour, de retourner en instrument de domination de la population un événement terrible. »
un livre-appel pour étendre la lutte
« Quant au début de cette année, il est excellent »
Reportage
[Vidéo]
Violences, intimidations, humiliations, insultes racistes : les lycéens placés en GAV racontent. [REPORTAGE VIDEO]
Un film de Florent Tillon.
Quand la police moleste la jeunesse qui s’organise.
Contribution au débat sur la répression politique sous état d’urgence
Vidéos du colloque « Pour l’asile, une autre politique de l’immigration est possible » (Paris 8, lundi 5 mars), par Doc du Réel.
« Et le vide, contrairement à ce qu’on croit, n’est pas neutre, il est autoritaire. »
Sur l’internet.
« l’idée du bonheur que nous portons en nous est imprégnée par la couleur du temps qui nous est échu pour notre vie à nous »
Aimer un pays
« L’intelligence est ralentie, mais il faut d’abord prendre les choses de vitesse ». Jean Baudrillard, Cool Memories