Depuis le jeudi 24 février dernier, des milliers de Russes descendent courageusement dans les rues de plusieurs dizaines de villes du pays, pour faire entendre leur opposition à Poutine et à l’invasion de l’Ukraine. En parallèle, phénomène à la fois inédit de par son ampleur et particulièrement risqué, des milliers d’informaticiens, de fonctionnaires, de scientifiques, de journalistes, de médecins, de membres du clergé, d’avocats, de professeurs et d’acteurs culturels, signent des pétitions demandant la (...)
Depuis le jeudi 24 février dernier, des milliers de Russes descendent courageusement dans les rues de plusieurs dizaines de villes du pays, pour faire entendre leur opposition à Poutine et à l’invasion de l’Ukraine. En parallèle, phénomène à la fois inédit de par son ampleur et particulièrement risqué, des milliers d’informaticiens, de fonctionnaires, de scientifiques, de journalistes, de médecins, de membres du clergé, d’avocats, de professeurs et d’acteurs culturels, signent des pétitions demandant la fin de la guerre ou le départ de Poutine. Selon plusieurs rumeurs, les premières contestations et désertions au sein de l’armée ont déjà lieu.
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