Un vent mauvais souffle sur l’Italie comme sur le reste du monde. Toutes les forces réactionnaires, quelles que soient les étiquettes politiques (y compris « de gauche »), sont à l’offensive. Sur toute la planète, les gouvernants sont à la recherche de boucs émissaires et quand on ne s’en prend pas au migrant, on donne dans la gesticulation antiterroriste. C’est dans ce contexte qu’en Italie, on assiste, depuis quelques années au spectacle de pouvoirs resserrant les rangs pour s’en prendre au spectre (...)
Un vent mauvais souffle sur l’Italie comme sur le reste du monde. Toutes les forces réactionnaires, quelles que soient les étiquettes politiques (y compris « de gauche »), sont à l’offensive. Sur toute la planète, les gouvernants sont à la recherche de boucs émissaires et quand on ne s’en prend pas au migrant, on donne dans la gesticulation antiterroriste. C’est dans ce contexte qu’en Italie, on assiste, depuis quelques années au spectacle de pouvoirs resserrant les rangs pour s’en prendre au spectre d’une subversion qui n’existe plus.
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