Une raison de déserter l’Éducation Nationale
Giuditta Nera
Dans cette chronique, une professeure de philosophie expose ce qui conditionne à la fois, l’apprentissage, le déroulement des journées et l’expérience subjective de tous ceux qui, élèves, comme adultes responsables, participent à maintenir la machine Éducation Nationale en branle.
Ici, il ne s’agit pas temps de revenir une fois de plus sur les mécanismes disciplinaires et punitifs d’une institution à l’agonie, mais plutôt de mettre en lumière les cadences qu’elle impose, à la fois intenables et absurdes. Elle y décrit une course contre la montre permanente, où se contenter de tenir le rythme ne suffit plus : il est toujours trop tard.
|