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#104 | 15 mai
 
 
 
Hommage à la jeunesse [Vidéo]
 

Doc du réel



 
 
 
 
 
Comme une variation de l’émeute : prendre soin
 

Par Josep Rafanell I Orra



Josep Rafanell i Orra est psychologue et psychothérapeute. Il intervient depuis plus de 20 ans dans des institutions de soin et de travail social. Il anime un séminaire aux Laboratoires d’Aubervilliers autour des pratiques de soin et des collectifs
Ses recherches se placent à la croisée d’une politique située et de la prise de parti contre les machines de gestion étatiques et d’intégration à l’économie. Il a notamment publié En finir avec le capitalisme thérapeutique aux Editions La Découverte (2011). Nous l’avons sollicité dans le cadre de notre grand projet #Macron #EnMarcheVersLaChute.

 
 
 
 
 
My Dinner with André, Louis Malle, 1981
 

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Séminaire : « Contre l’état d’urgence, penser l’état du monde »
 

Entretien avec Ninon Grangé sur le concept de Guerre Civile.



Du 19 au 20 mai, lundimatin et La Maison de la Grève à Rennes organisent un séminaire « Contre l’État d’urgence ». Pour mieux vous y inviter, nous publions cette semaine un entretien avec Ninon Grangé, l’une des intervenantes.

 
 
 
 
 
États d’urgence - Photographie sociale et documentaire
 

À paraître le 18 mai [Bonnes feuilles]



Ce 18 mai, les Éditions Libertalia publient États d’urgence une revue photographique. Photographies, reportages et entretiens s’étalent sur 128 pages. Nous publions dans cet article le texte de présentation, le chapitre sur le mouvement contre la « loi travail » ainsi qu’une intervention de Jean Stern à propos de l’état d’urgence.

 
 
 
 
 
Politique des zombies, le retour des jésuites
 

#Macron #EnMarcheVersLaChute « Comment devenir un prêtre séducteur, un chef d’entreprise dynamique, un orateur exalté et un aventurier mystique -à la fois Don Quichotte et Don Juan- adepte des aventures missionnaires les plus incertaines ? Le secret de cette attitude est à chercher dans l’éducation jésuite. »



Olivier Long est maître de conférence en Arts Plastiques à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

 
 
 
 
 
La diplomatie contre les rebelles syriens
 

Les accords d’Astana vus d’Idlib- Entretien



Nous avions déjà déplié dans un précédent article sur l’ASL les objectifs de la politique de désescalade militaire mise en place par les acteurs étrangers en Syrie. De tous les angles qu’on le prenne, il n’y a qu’un seul camp à qui cela ne profite pas, c’est celui de la révolution syrienne.

Le 4 mai 2017 à Astana a été signé le dernier accord concernant le conflit syrien. Ratifié par les russes, les iraniens et les turcs, il prévoie la mise en place de « zones de désescalade ». Les rebelles ont bruyamment quitté la table des négociations pour protester contre cette « trêve durable », censée s’appliquer sous le contrôle d’observateurs internationaux russes et iraniens, alliés du régime de Bachar. Ainsi la diplomatie ne fait plus semblant de ménager l’intérêt des « deux parties ». Écartant peu à peu les rebelles des processus de décision concernant pourtant leur révolution.
Cet accord rentre dans une logique qui est déjà bien en place depuis les premières tentatives de trêves. Mais il y a toujours eu un écart entre ce qui existe sur le papier et la réalité du terrain. Pour autant comprendre ce qui a été signé ce 4 mai permet de saisir comment la diplomatie enterre la rébellion.

En Route ! a rencontré M., un révolutionnaire d’Idlib, zone concernée par l’accord. Souvenez-vous de ces colonnes de bus verts évacuant Alep à sa chute, c’est vers Idlib qu’ils se dirigeaient. Au fur et à mesure de la reconquête des territoires par le régime, les rebelles sont envoyés dans des poches de plus en plus réduites. Idlib est une des dernières.

Pour commencer, M. nous explique dans cet entretien les enjeux réels des accords d’Astana pour les rebelles et leurs ennemis. Puis il nous raconte comment coexistent dans la province d’Idlib les différentes factions de la rébellion (à savoir l’ASL, Arhar Al-Cham et Jabhat Al-Nosra) et leurs rapports avec les comités locaux.

 
 
 
 
 
À Bure, s’ils réoccupent la forêt, on les expulse !
 

Un appel à converger en Meuse dés maintenant pour défendre le bois Lejuc !



Dans nos étranges contrées de Meuse, il semblerait que le temps soit devenu cyclique. La faute n’en est pas au réchauffement climatique, mais à des poussées saisonnières de fièvres autoritaires sur le bois Lejuc réoccupé depuis septembre 2016. Le 26 avril, au terme de moult péripéties judiciaires qui nous faisaient gagner du temps depuis décembre, le tribunal de Bar-le-Duc a finalement déclaré que les habitant-e-s du bois étaient expulsables sans délai. Et, le 18 mai, le conseil municipal de Mandres-en-Barrois va se réunir pour prendre une nouvelle délibération pour « régulariser » l’échange du bois. L’État et l’Andra contre-attaquent.

 
 
 
 
 
Un chant d’amour. Israël-Palestine, une histoire française
 

Alain Gresh & Hélène Aldeguer



Nos amis du blog Antopées nous ont envoyé cette fiche de lecture du dernier livre d’Alain Gresh et Hélène Aldeguer sur le conflit Israelo-palestinien.

 
 
 
 
 
Cauchemars et facéties #58
 

Des nouvelles de l’internet.



Cette semaine : la reconnaissance faciale dans les aéroports comme dans les supérettes ; un directeur de cabinet adepte du flashball ; l’Etat startup ; les expériences airbnb ; la fonte des glaces, dans un océan plastique ; les cagoules et le FN...

 
 
 
 
 
 
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