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Jamais, depuis ses origines, le cinéma n’a été confronté à de tels bouleversements. Séismes à l’échelle et à l’image du monde. Et en même temps, jamais, il n’a été aussi formaté, soumis, comme shooté et vaincu par tout ce qui le détruit. En discutant avec lundimatin, nous avons décidé d’ouvrir une petite brèche dans le béton médiatique. Pour de semer de nouvelles pousses. Avec des invité.es venu.es du cinéma, mais pas seulement. Et dont les lianes plus végétales (pour citer le philosophe (…)
Jamais, depuis ses origines, le cinéma n’a été confronté à de tels bouleversements.
Séismes à l’échelle et à l’image du monde.
Et en même temps, jamais, il n’a été aussi formaté, soumis, comme shooté et vaincu par tout ce qui le détruit.
En discutant avec lundimatin, nous avons décidé d’ouvrir une petite brèche dans le béton médiatique.
Pour de semer de nouvelles pousses.
Avec des invité.es venu.es du cinéma, mais pas seulement.
Et dont les lianes plus végétales (pour citer le philosophe Denetem Touam Bona) que financières ou médiatiques, permettraient d’engager de nouvelles formes de solidarités avec les images, les sons.
Ça s’appelle Lundi Bon Sang de Bonsoir Cinéma, en hommage au magnifique cinéaste Jean Epstein, qui déjà dans les années 1920, avait recommencé le cinéma sur l’île d’Ouessant.
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