« Pendant que nous luttions pour libérer les territoires occupés par Daech, les agents de la DGSI nous espionnaient par le trou de la serrure. »
[MàJ : le témoignage d’un second "vétéran" du Rojava a été ajouté à cet article.]
En 2015, André Hébert s’est rendu en Syrie pour rejoindre les forces kurdes du YPG (« Unités de Défense du Peuple »). Dans Jusqu’à Raqqa, paru aux Belles Lettres en début d’année, il avait raconté la guerre et le front contre Daesh. [Nous en avions publié les bonnes feuilles ici.]
Dans cette tribune, il répond à un article récemment publié sur le site Mediapart qu’il qualifie de "narration anxiogène" derrière laquelle il voit l’influence néfaste des services de renseignement français.
[Lire aussi notre article paru hier : Rojava, ultragauche, propagande et terrorisme - Mediapart intoxiqué par la DGSI ?]
[MàJ : le témoignage d’un second "vétéran" du Rojava a été ajouté à la fin de cet article.]
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