[Nous avions publié cette annonce de départ en vacances partiel début juillet avec la naïveté de tous les employés qui imaginent encore pouvoir bronzer sans que leur smartphone ne les oblige à quelques tâches oubliées ou supplémentaires ; comme si cette époque n’était pas en train d’abolir définitivement la distinction entre travail, loisirs et repos. Pour reprendre les mots de notre stagiaire estivale : « Quand on aura gagné, on pourra se reposer ! »]
Chères lectrices, chers lecteurs, Comme chaque année, (...)
[Nous avions publié cette annonce de départ en vacances partiel début juillet avec la naïveté de tous les employés qui imaginent encore pouvoir bronzer sans que leur smartphone ne les oblige à quelques tâches oubliées ou supplémentaires ; comme si cette époque n’était pas en train d’abolir définitivement la distinction entre travail, loisirs et repos. Pour reprendre les mots de notre stagiaire estivale : « Quand on aura gagné, on pourra se reposer ! »]
Chères lectrices, chers lecteurs,
Comme chaque année, nous allons prendre quelques vacances et passer de la frénésie de nos éditions hebdomadaires à des publications moins cadencées mais régulières et au fil de l’été (nos contributeurs peuvent donc continuer de nous envoyer leurs articles par les canaux habituels). Évidemment, nous aurions préféré laisser nos ordinateurs au bureau et nous déconnecter complètement de tous ces écrans pendant deux mois mais nous savons qu’en face il n’y a pas de trêve y compris pendant les congés d’été.
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