Voir en ligne
   
 
 
 
#142 | 16 avril
 
 
 
ZAD : fallait pas les virer
 

"Nous partîmes 70 ; mais par un prompt renfort,
Nous nous vîmes 12000."



Lundi 9 avril au soir, la préfète de Loire-Atlantique, Nicolas Klein annonçait, concernant les opérations de destruction dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes commencées le matin même : « L’objectif est presque atteint. » A ses côtés le général Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie, vantait une opération menée avec célérité, et qui ne rencontrait l’opposition que de « 70 à 80 opposants ».

Ce week-end, marqué par deux imposantes manifestations, à Nantes puis sur la ZAD, la presse parle de « fiasco ». Mais que s’est-il donc passé en cinq jours ?

 
 
 
 
 
ZAD : 4000 grenades tirées
 

Combien de GLI F4 ?



 
 
 
 
 
Félicitations Emmanuel Macron !
 

[Replay]



 
 
 
 
 
J’enterre mon lapin - par Phillippe De Jonckheere
 

A propos du 4e plan autisme



La semaine dernière, nous publiions un article à propose du 4e « plan autisme » annoncé par le gouvernement. En écho, nous publions cette semaine cette autre réaction de [Philippe De Jonckheere-http://www.desordre.net/].

 
 
 
 
 
« Le Monde des Grands Projets et ses ennemis, voyage dans les nouvelles pratiques révolutionnaires »
 

Par Serge Quadruppani [Bonnes Feuilles]



« Le Monde des Grands Projets et ses ennemis, voyage dans les nouvelles pratiques révolutionnaires » paraitra aux éditions La Découverte le 18 mai prochain.
Les « bonnes feuilles » qui suivent ont été rédigées au troisième jour de l’intervention policière à la ZAD et ajoutée in extremis avant le départ du livre pour l’impression.

 
 
 
 
 
Abécédaire de la ZAD
 

[Replay] P comme Puissance par Alain Damasio



 
 
 
 
 
Tarnac - dernières déclarations
 

Jeudi 12 avril, le tribunal de grande instance de Paris a finalement statué sur la culpabilité des 8 prévenus dans l’affaire de Tarnac. 5 prévenus ont été intégralement relaxés, Julien Coupat et Yildune Lévy ont été condamné pour refus de prélèvement ADN mais dispensés de peine. Grand perdant, Christophe Becker a écopé de 4 mois de prison et 500 euros d’amende avec sursis : les juges ont estimé qu’il ne pouvait pas ignorer héberger dans une armoire de son appartement, trois cartes d’identité égarées.
Nous (...)



Jeudi 12 avril, le tribunal de grande instance de Paris a finalement statué sur la culpabilité des 8 prévenus dans l’affaire de Tarnac. 5 prévenus ont été intégralement relaxés, Julien Coupat et Yildune Lévy ont été condamné pour refus de prélèvement ADN mais dispensés de peine. Grand perdant, Christophe Becker a écopé de 4 mois de prison et 500 euros d’amende avec sursis : les juges ont estimé qu’il ne pouvait pas ignorer héberger dans une armoire de son appartement, trois cartes d’identité égarées.

Nous voulions publier les déclarations finales des prévenus à leurs juges, celles-ci n’ayant été retranscrites que très aléatoirement dans la presse et sur twitter. Malheureusement, si nous sommes parvenus à mettre la main sur les 14 pages de notes manuscrites de Julien C., nous n’avons pas été en mesure de les déchiffrer. Sollicités, Benjamin R. nous a répondu qu’il se trouvait déjà sous les cocotiers, photo à l’appui et Yildune L. nous a quant à elle renvoyé vers ses avocats. Seul Mathieu B. a eu la gentillesse de nous transmettre un document lisible que nous reproduisons ci-dessous.

 
 
 
 
 
Procès Tarnac : le verdict - Par Ivan Segré
 

Farce soit par ailleurs rendue à la justice



Julien Coupat et Yldune Lévy, ainsi que cinq autres inculpés du « groupe de Tarnac », ont donc été relaxés. Comme je l’écrivais à l’issue de la seconde semaine du procès, un tel verdict était attendu, dès lors que le président du tribunal, madame Corinne Goetzmann, avait magistralement mis à nu le ressort sophistique de l’accusation.

 
 
 
 
 
Éloge de l’imprévu - Sur la grève du lycée Charlemagne
 

« Le printemps repose sur ces gestes, et leur extension là où on ne les attend pas, là où rien n’est prévisible. »



Depuis le 12 avril, le lycée Charlemagne du 4e arrondissement de Paris est bloqué. Ses meilleurs élèves nous ont fait parvenir ce récit.

 
 
 
 
 
NDDL : Vu de l’intérieur. Choisir son interieur.
 

Montage



 
 
 
 
 
Petite histoire de l’anarchisme chinois - partie 3/4
 

La pensée politique de Ba Jin



Cet article fait suite à deux articles de présentation de l’anarchisme chinois que nous avions publiés il y a quelques mois. Cette semaine, Agathe Senna nous présente Ba Jin, écrivain anarchiste chinois (1904-2005)

 
 
 
 
 
Karine Parrot - Les personnes étrangères ont-elles un droit ?
 

[Farce doit rester à la justice - les vidéos]



Le 25 mars se tenait à la Bourse du travail une journée de rencontres et des débats autour de la justice. Sobrement intitulée "Farce doit rester à la justice - La violence quotidienne d’une institution", anthropologues, syndicalistes, avocats, militants, magistrats, historiens et juristes y sont intervenus pour apporter leur éclairage propre. Nous publions cette semaine les quatre interventions de la seconde table ronde : « De l’exception à l’ordinaire de la justice »

 
 
 
 
 
Farid El Yamni - Sur le traitement judiciaire des violences policières
 

[Farce doit rester à la justice - les vidéos]



Le 25 mars se tenait à la Bourse du travail une journée de rencontres et des débats autour de la justice. Sobrement intitulée "Farce doit rester à la justice - La violence quotidienne d’une institution", anthropologues, syndicalistes, avocats, militants, magistrats, historiens et juristes y sont intervenus pour apporter leur éclairage propre. Nous publions cette semaine les quatre interventions de la seconde table ronde : « De l’exception à l’ordinaire de la justice »

 
 
 
 
 
Nicolas Fensch - Le traitement judiciaire de l’affaire du « Quai de Valmy »
 

[Farce doit rester à la justice - les vidéos]



Le 25 mars se tenait à la Bourse du travail une journée de rencontres et des débats autour de la justice. Sobrement intitulée "Farce doit rester à la justice - La violence quotidienne d’une institution", anthropologues, syndicalistes, avocats, militants, magistrats, historiens et juristes y sont intervenus pour apporter leur éclairage propre. Nous publions cette semaine les quatre interventions de la seconde table ronde : « De l’exception à l’ordinaire de la justice »

 
 
 
 
 
Eric Beynel - Quand le pénal se confronte au social : un outil de répression syndicale
 

[Farce doit rester à la justice - les vidéos]



Le 25 mars se tenait à la Bourse du travail une journée de rencontres et des débats autour de la justice. Sobrement intitulée "Farce doit rester à la justice - La violence quotidienne d’une institution", anthropologues, syndicalistes, avocats, militants, magistrats, historiens et juristes y sont intervenus pour apporter leur éclairage propre. Nous publions cette semaine les quatre interventions de la seconde table ronde : « De l’exception à l’ordinaire de la justice ».

 
 
 
 
 
 
m'inscrire / me désinscrire