C’est l’heure ou jamais d’intervenir. C’est l’heure ou jamais plus l’on n’interviendra. Entre ces deux bords, tantôt l’imminence d’une décision, d’un acte à ne pas rater, ne pas différer, tantôt l’évidence manifeste du trop tard, de la mort de l’espérance au présent, se joue (de nous peut-être) la dimension actuelle du temps de la politique.
A l’heure ou jamais d’intervenir, toute une sédimentation d’actes et de conditions antérieurs, toute une densité de mémoire vivante et de souffrance, font sentir à travers (...)
C’est l’heure ou jamais d’intervenir. C’est l’heure ou jamais plus l’on n’interviendra. Entre ces deux bords, tantôt l’imminence d’une décision, d’un acte à ne pas rater, ne pas différer, tantôt l’évidence manifeste du trop tard, de la mort de l’espérance au présent, se joue (de nous peut-être) la dimension actuelle du temps de la politique.
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