viens dire ici ? «
aprèsc
après-cp
cp
coup, et ne pas répéter la ci
ka la conversation oligarchique, la conversation
qui contrait la
le a
le matériau et quk, c
qui contraitn
la lecure , qui contraint
la lecture
is
si je raconte un peu , on, le 1er décemner
décembre 2018 , on étaiy t rue Poncelet à dix heures
le matin et les a
les marchands rangeaient à toute vitesse esl
les marchandises qu’ils avaien t sorties dans la reu
rue ;
, on commençait une boucle pour revn
revenir vers la place u qu’j on ac
avait quittée par élan e t aussi, on était réjousi
réjouis, c’était de bonne heure, une voiture de la
police , on ’ l’avai t vue bien seule, s’effarer sur la
place ; on était revenus sur la place vers onze j
heures le matin , on était passés avenue Hochen n
aussi et près du par c , à noiveau,
à nouveau, mais la boucle n’étai t pas si ronde, et
c’était un début
on quittait la l’avnue
l’avenue Mac-Mahon, après, c’est encore ver s onz e
heurse
heurse
le maitn
la
le matin , on entrait dans l’aveneu
l’avenue Carnot où d’autres étaient passés , elle était
noire par endroits , dse
des feux avaient brulés, elle était enfumée
on était cle
celui et celle qu i , en levant les e
les yeux,voyant unt trait de flamme pou r régler sa
marche , regrd
regarde ce ui
ce qui électris e sa marche
une prmièer e fois dns
dans les jardins de l’avenue Foch, on commençait de
se parler , on avait le re
temps , le
quand m^me on s’attendait à ne manuenr
à ne
en manure
manquer ; un peun n plus tôt, rue Brunel déjà, o n
s’était parléune languen n ney
neuv e ; eh bien, vers douze heures trente , donc, on
commneçiait
commençaiit i
e
e de se poser dans son corps
on était dnas
dasn
dans l’avaneur
l’avenue Foch, vers quinze heures, mais une seconde
fois alors
et
on vait a
accroché un long tuyau déroué
déroulé, pris dna s
dan s les h
jardins , et grimpé sur le mats
d’écalirage
éclait
éclairage, et renversé oar
par terre , en traveers de l’avenue, au milieu de s jer
jardins sans hâte et sans hâteb
non plus, on avait déplacé les bancs pris dans les jat
jardins au milieun e
de l’avnue e, pour s’y asseoir
à ce moment – m
là, on avait vu à nouveau une voiture d e la police
s’effarer , uitt
quitter vite sous ke
les prok
projects
les caillous
on avait déjà msi
mis le feu à un enginb , un engin de l’espèce
caractérisée par la possessn, d
lz po
la possession d’un bras articulé bref, on n’avit a
psa
pas laissé qu’ils éteignznt le feu , c’estg
c’est ) à dire qune
le camion u quen l’on avait command é , ave d c
les personnes dedans , le conducteru
conducteur , les autres , tous les soldats , venus pour éteindre
le fe u , on l ’ avait bloqué avec tous les
corps pa
les corps massé s pour protéger le feu afin qu’il ve^
brûle tranqulle i
et psusin
puis, il étaitvers sezi
seiez
seize heures trente dans l’avenue Raymond Poincaré
lorsqu’on marchait versv
la place Victor Hugo ; sur la place , qui est petite de
taile
tau
taille, une chaise en osieer
osier imité est adossée au bassin vide de la fontaine, ui
qui regarde en direction de s jerdins,
jardins , regarde les vo^tures i u
que l’on avait choisie s parcequ’elle s sont les stign
stigme
str
stigmates d’une richese cumuée,
une richesse cumulée, pour les retourner à la main,
pour les détruire, et pour les brûler et brûlaie t ntr
aussi, près du bassin, les petitsb
arbres coupés vendus pour lam
la maison, ici entassée s
en tas dans la flaùm
flamme ;
et ui
qui regarde en direction de la placde
place de l’Étole i
ragr regarde d’auyres
des fumées
c’étairt
nous , dusi
disons : nous , ui
qui avion s le trait ; c’était disons : nous , car
nombreux étair eny
étaient les prmeier
premiers coups , ils ér
ér
étaient jous
joués en pluso
plusieurs lieux et des rues et des pa
places de la ville au même mome nt , on ne le savit
savait pas come
comme on voit ; mais on le savit a
on avit a
le temps des phrases , des phrases qui ne sont pa s
privéed d
pas privées d ’ air , qui, sont sorties de détention,
échappér ées de l’ enfermemeny t , où les tiet
les tien t l’éat
l’état des corps qui les matent ( pas toujours sas
sans « ils » , pas tij
ni pas toj
pas toujours sans matons, ca r en effet ils sont
nombeaux en
nombreux) ; tous les joirs,
les jours, les phrases qui paa ssent au pressor
au pressoir avant m^me le momment
moment qu e d’être prononn cées , elles sont prises d
e mory
de morrt r
, elles sont prises de l’orde e
l’order
l’ordre ds
des lanagags e oligarchiques , c’est que d’hai
d’habitude elles leur parlent ; et , aujourd’hui , on avit
avit a
rompu le pressurage qi
qui se montrev en véru
vr
veŕité sans succès
la nuit tombait dans l’avne
l’avenue Kleber vers dxi
dix-sept heit
dxi
dix-sept heures trente, on s’était muni d’un marteu
marteu-piqueru
marteau-piquey
piqueur , tandis quen n
l’avenue était divisée en secrtiosn
sections, que barraient dasn
f
dans la largeur des band es de flamme
jusqu’au Tocader
To
Trocadéro , on buvait des bouteilles vesr
vers dix-huit heurs trenre ,
mais je en
ne sais pas pouruoi
pourqui
quoi, la fin n’éatit
n’était pas sans fin, on est rentré, et le jour est venu