L’état condamné à ne verser que la moitié des indemnités.
Une logique de la réparation.
Des artistes distribuent 150 000 faux tracts de Nicolas Sarkozy.
Ô guerre civile, incivile ! Ô tempora, ô mores ! Oh merde ! Il est élu.
Comprendre la situation française à partir de la Tunisie, épisode 3.
Quelques réflexions à partir de l’exposition présentée en ce moment au BAL Provoke : between protest and performance photography in Japan, 1960-70
« Nous prenons au mot le souhait européen de nous voir bénéficier d’une terre où la sécurité de chaque habitant soit assurée. [...] Aussi, nous acceptons un länder sur le territoire de l’actuel Allemagne pour fonder ce pays rêvé, une nation aussi plurielle que l’identité juive. »
« Le pouvoir, c’est l’organisation même de ce monde, ce monde ingénié, configuré, designé. Là est le secret, et c’est qu’il n’y en a pas. »
Par Ivan Segré
Le journalisme à la sulfateuse
Le débat continue
Des avocats se mobilisent...
Le ministère de l’Intérieur déteste Gaspard Glanz
À propos d’Un boycott légitime (La Fabrique, 2016)
[Reportage vidéo]
Avec Serge Quadruppani, Iréné, Pierre Douillard-Lefèvre et des membres du Collectif Matsuda [lundisoir]
Vidéo
Un entretien avec Patrice Maniglier [lundisoir]
Les états d’âme d’Eric Chauvier [lundisoir]
[Cinétract]
[Farce doit rester à la justice - les vidéos]
« Ce faisant la police ne demande pas seulement d’être en mesure de maintenir l’ordre, mais exige de voir reconnue sa capacité à agir de manière souveraine, y compris face aux autres institutions de l’État, sans être gênée dans ses pratiques. »
(Suivi des recommandations de base de Noël Godin)
Contribution au débat sur la répression politique sous état d’urgence
Du 11 au 13 novembre, Graine, b(l)ocages, semis sauvages !
« Déloger le pauvre, tirer l’exilé de son abri de bâches et de planches, pousser la tente des Roms au peu plus loin : ventiler la misère, la disperser pour qu’elle sente moins la mort. Qu’ils disparaissent, ordonnent les salauds. L’ordure à la benne et le trottoir passé au karcher sous les yeux vides des électeurs. »
« Les policiers sont des illégalistes comme les autres. Ils vivent en bandes, sont brutaux, sans foi ni loi.[...] La seule chose qui les distingue des autres bandes, c’est qu’ils sont organisés en un plus vaste appareil de complicité, et qu’ils se sont par là arrogés l’impunité. Autrement dit : il n’y a plus que des forces dans ce monde, que l’on répute criminelles à proportion de leur inorganisation. »
Face aux armes de la police : une épopée judiciaire
Envoyé spécial dans le carré presse d’un meeting politique, An Premier de l’Etat d’urgence.
par Serge Quadruppani
Dissertation
On en parle sur l’internet.
