Main arrachée. Gli f4
tes chairs fraient tes pistes du sang crient un nerf fauché déborde à terre un grumeau s’écharde vers tes ongles
Censuré en gris
c. dettinger lutteur de classe
effacé rue d’aubervilliers la fresque
aux cornées électriques sous du gris violait
les cendres mauves d’en haut ∙
ΛΑΌΣ, l’état vise
ton globe érotique arrache
le filet qui tient l’œil jaune éclatant
L’assaut
en brûlant des fouquet’s ------
la terre
a des yeux jaunes ------
respire.
Prendre les murs nouveau-riche, en livre animal,
vivant : ils respirent ------
mais ce qui te domine a
[stérile, pyramidal, puant]
rougi l’assaut des jonquilles ------
pour un témoin en réel l’éclatement des crânes, des rotules ------
par les chiens carapaçonnés, contre ton mouvement
l’état la machine incrustée mentale
ce qui est né MOURRA. Quand ces ramées génésiques noircissent
dans tes yeux regarde un bleu
impalpable estompe une carlingue
Toujours
aux fossés rien
ne préparait les jonquilles
ni les yeux des jonquilles
ni les pétales arrachés
ni les mains dont le nerf pend
et n’ira nourrir rien
que l’interstice des pavés
l’esprit remonte les vertèbres
c’est à la portée d’un chien
par ce qui arrache vos yeux
par ce qui pousse à la mort
ce qui écrase et tue de nous
qu’il atteigne la tête
les cheveux et les marées d’étoiles
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